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BMW Z4 (E89) sDrive 35i (2009 - )

bmw z4 sdrive 35i e89
© L'AUTOMOBILE SPORTIVE (10/10/2009)

ROULE TA CAISSE !

Assurément, le nouveau Z4 roule des mécaniques. En apparence, il n'y a rien à jeter de cette automobile d'exception. Un vrai roadster de "beau gosse" pour rouler sa caisse, justement, devant les minettes. Les mauvaises langues habituées des clichés diront que c'est "une voiture de gonzesse" : ils ne croient pas si bien dire. Les temps changent, le roadster Z4 de BMW aussi...

Texte & photos : Anthony SINCLAIR

Lorsqu'on évoque les roadsters BMW je pense instantanément à la joie inébranlable qui a animé chacun de mes déplacements en Z3 2.8i, durant 4 années. Ce petit air bien connu de Charles Trénet en serait la bande son parfaite car en Z3, "y'a d'la joie" ! Malgré tout, si la nouvelle pub de la marque a pris soin d'insister justement sur cette "joie", c'est peut-être qu'en ces temps particulièrement autophobes il est important de rappeler que l'automobile peut véritablement être une source de plaisir. Bon, promis, j'essaie de rester objectif pour cet essai du tout nouveau BMW Z4 sDrive 35i...

PRESENTATION

Quand j'ai découvert le nom à dormir dehors - "Z4 sDrive35i Luxe DKG" - en prenant possession de mon roadster d'un jour, je me suis dit "encore un as du marketing qui ne savait pas quoi faire de sa journée". C'est qu'on réfléchit dur chez BMW en ce moment pour concilier une image "bobo écolo-responsable", obnubilé du CO2, sans trop renier les fondamentaux du constructeur. Histoire de faire oublier, peut-être, qu'on fabrique dans la même maison des chars pas très "efficient dynamics" comme les X5 et X6 M. Dans ce fatras marketing qui reflète un monde automobile en pleine mutation, un nouveau concept verbal illustré par le Z4 a émergé : "la joie est BMW". Acteur d'une oeuvre artistique pour le moins originale baptisée « The Expression of Joy » (cf. encadré plus loin), le Z4 est donc une pièce maîtresse du nouveau concept de "Freufe am fahren". Un moyen "d'approfondir la relation entre émotion, technologie et création industrielle", selon l'auteur. J'en prends note, pour plus tard...

Mais intéressons-nous maintenant à ce bel objet automobile, source d'émotion, qu'est le nouveau Z4 "E89" de son petit nom en interne. Tout d'abord, ce nouveau Z4 symbolise la rupture avec les précédentes générations de "Z" munichois. Contrairement aux Z1, Z3, Z4 et Z8, le Z4 E89 est en effet le premier roadster BMW coiffé d’un toit rigide rétractable. De ce fait, il prend simultanément la succession du précédent Z4 (E85) dans ses variantes Roadster et Coupé. Cette dernière a d'ailleurs été un échec commercial pour BMW, confirmant les doutes émis déjà à l'époque du controversé Z3 coupé. Mais même dans sa variante roadster, le Z4 E85 est loin d'avoir égalé les ventes du Z3. BMW a été contraint d'en tirer les conclusions et la cible du nouveau Z4 est donc aujourd'hui clairement identifiée : le SLK de Mercedes, best seller du segment depuis la sortie de sa première génération en 1996. Pas aussi sportif qu'une Porsche Boxster/Cayman, moins confortable que le SLK, le Z4 boxait dans deux catégories sans avoir la bonne stature. On appelle ça plus communément avoir "le cul entre deux chaises". Ce n'est pas agréable. Par la même occasion, le nouveau roadster-coupé de BMW reprend une longueur d'avance sur une Audi TT devenue très menaçante.

Autre élément de rupture spirituelle, la production du nouveau roadster a été rapatriée des USA vers l'Allemagne, à l’usine de Regensburg (Ratisbonne), aux côtés des série 1 et 3. Sans pour autant partir d'une feuille totalement blanche puisque le Z4 e89 réutilise en bonne partie la structure de son prédécesseur, ses dimensions apparaissent plus étirées et notamment le long capot, désormais creusé et non bombé. La nouvelle BMW Z4 fait 4239 mm de long, 1790 mm de large et 1291 mm de haut sur un empattement de 2496 mm. D'allure typée avec une partie avant basse, une ligne scapulaire marquée et un arrière soulignant la largeur, on pourra le trouver peut-être plus "féminin" que ses prédécesseurs et il y a une bonne raison à cela : à l'issue d'un concours interne, ce sont deux femmes qui ont remporté la réalisation du design extérieur et de l’habitacle de ce nouveau Z4. Autrement dit, jamais le roadster bavarois n'aura autant mérité son sobriquet de "voiture de femmes".

Cela étant, ce nouveau Z4 E89 ne manque pas de charme ni d'élégance, ayant réussi à diluer le style angulaire et froid du très controversé Chris Bangle qui a depuis quitté la maison. De grands passages de roues remplis par de belles jantes à rayons en 18" (17" en série), des porte-à-faux réduits, de larges naseaux avec une grille verticale (de couleur alu mat sur le sDrive35i) qui rappellent la mythique 507 roadster et des phares qui remontent comme des yeux de biche sur les ailes ajoutent plus de féminité et de séduction à ce (cette ?) Z4.

Z4 ART CAR
L’œuvre de l’artiste sud africain Robin Rhode est sans précédent et dépasse le concept des BMW Art Cars. Le véhicule n’est plus un simple élément de figuration, il passe de modèle à artiste. « Cette réalisation est l’expression de la peinture dynamique – mon objectif étant de transmettre la puissance et l’émotion de l’œuvre », explique Robin Rhode. « Pour moi, utiliser cette voiture sportive fut une excellente possibilité d’approfondir la relation entre émotion, technologie et création industrielle ». Pour ces raisons, l’œuvre du Z4 est intitulée « The Expression of Joy ».
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HABITACLE

interieur bmw z4 35i e89

Dans l’habitacle, outre la visibilité tous azimuts améliorée, la garde au toit (+ 5 mm), la largeur aux épaules (+ 20 mm) et la largeur aux coudes (+ 43 mm) ont augmenté. De plus, la section d’ouverture des portes ayant été agrandie de 26 mm, l’accès à bord est facilité aussi lorsque le toit est fermé. Ce toit magique, fait de 2 coques d'aluminium, s'ouvre ou se ferme en 20 secondes. C'est peu pour un "CC" mais trèèèès long quand on a l'habitude d'une capote manuelle ! La Mazda MX-5 a d'ailleurs démontré qu'elle savait faire les deux manoeuvres plus vite que quiconque. Le logement du toit se fait comme dans la plupart des coupés-cabs (sauf la MX-5, encore) dans le coffre à bagages, faisant chuter son volume de 310 à 180L. La contenance resterait décente si l'accessibilité n'était pas réduite à trois fois rien une fois le toit plié. Bref, côté pratique, on sent que BMW n'a pas pu faire de miracle, hormis ajouter une trappe à skis.

Concernant le poste de conduite, on apprécie instantanément son design plus chaleureux, notamment avec l'option cuir étendu de couleur claire comme sur notre modèle d'essai. Les placages en bois véritable (option aussi) contribuent également à réhausser le standing du Z4. Les finitions sont très soignées, les matériaux aussi, les petits rangements plus nombreux que par la passé. Seul le bac vide-poche basculant des portière fait tâche dans cet ensemble avec son plastique noir et dur que n'aurait pas renié une Peugeot 205... La position de conduite est parfaite, basse et à l'ergonomie impeccable, à ceci près que la ceinture de caisse est remontée de plusieurs centimètres, annihilant l'idée d'une conduite "coude à la portière".

Selon la finition choisie, Confort ou Luxe, le Z4 se montre plus ou moins généreux en équipements mais dans l'ensemble il est assez richement doté si on le compare à une Porsche Boxster S. Oui je sais, c'est dur de faire pire niveau options ! Cuir et clim auto sont donc de série, mais le Z4 conserve quelques petites mesquineries, même à 50.000 € le morceau. Par exemple le filet anti-remous est facturé 300 € sur le premier niveau de finition dit "confort". Cherchez l'erreur. Au final, en la jouant prince saoudien il est donc possible de faire grimper la note de quelques 15.000 €. Mais même avec ce budget là, vous serez encore loin de la totale à Stuttgart (Mercedes et Porsche inclus) ! De ce fait, le Z4 offre finalement un rapport prix/prestations plutôt intéressant.

MOTEUR

moteur n55 bmw z4 35i e89

Uniquement proposé avec des 6 cylindres, le Z4 E89 abandonne les petits quatre cylindres pour assumer un positionnement plus haut de gamme. Dans sa version la plus puissante, sDrive 35i, il est animé par le premier six cylindres en ligne au monde pouvant se vanter de réunir un "Twin Turbo", une injection directe essence du type "High Precision Injection" et un carter tout aluminium. Ce bloc "N55" a déjà quelques années de service au sein de la gamme, notamment dans la 335 Ci. Côté chiffres, le 3.0 biturbo impressionne déjà à la lecture de sa fiche technique : le couple maximal de 400 Nm est disponible de 1300 à 5000 tr/mn. Oui, j'ai bien dit 1300 ! C'est mieux qu'un 3.0 Diesel du même fabricant. 400 Nm, c'est aussi la valeur de couple de l'ancien V8 4.4 de la marque. Le L6 atteint sa puissance maximale de 306 ch à 5800 tr/mn avec un limiteur de régime à 7000 tr/mn, donc largement de quoi se pâmer.

Contact, mise à feu via le bouton start : les 6 pistons du Z4 35i se mettent en mouvement au quart de tour avec une déflagration sonore très grave. Première réaction, on a l'impression que ce 6 en ligne cube 4 litres ou plus, comme sur une TVR Sagaris ! A la conduite, le moteur surprend effectivement par sa force imposante dès le régime de ralenti. "Plein comme un oeuf" est une expression bien adaptée. Ce qui, au passage, est le cas sous le capot car l'espace y est compté. La masse à mouvoir de cette version 35i DKG semble plus faible qu'en réalité et les deux turbocompresseurs, alimentant chacun trois cylindres, se font totalement oublier pour offrir une spontanéité digne d'un gros moteur atmo. Au niveau de l'allonge c'est tout aussi remarquable, le 6 en ligne BMW continuant de pousser sans s'effondrer à l'approche du rupteur.

Cela étant, aussi parfaite soit-elle au niveau technique, cette mécanique manque d'un soupçon d'âme. Le premier regret concerne la sonorité, moins métallique et ennivrante que celle du 3.0Si. Le second, c'est sa linéarité digne d'un moteur électrique qui n'offre pas le caractère attendu d'un pur bouilleur sportif. Avec une puissance comparable au nouveau Z4 35i, ce vieux bougre de Z4 M vous balançait du Rock n'roll jusqu'à 8000 tours sans se faire prier. Le Z4 sDrive35i joue, lui, sur une partition beaucoup plus bourgeoise mais signe pourtant des chronos similaires en toute décontraction, à l'image du 0 à 100 km/h catapulté en 5,1s avec la boîte sport DKG à 7 rapports. Le bonus c'est une consommation moyenne tout aussi basse de 9,0 l/100 km. On croit rêver... C'est d'ailleurs un peu le cas. La norme Co2 place le Z4 sDrive35i à 219g par km, bien qu'en pratique, au rythme d'une conduite dynamique, sa consommation réelle s'en éloigne assez rapidement.

Très douce, la boîte DKG à double embrayage gomme également les sensations, comme toutes les transmissions de ce type, privant le pilote du petit bottage de fesses entre deux rapports. Plus adaptée à un cruising de qualité qu'à une arsouille digne de ce nom, elle confirme le positionnement plus "GT" du nouveau Z4. Même si on peut passer les rapports à l’aide des palettes de commande solidaires du volant, cela ne vaut toujours pas, à mon goût, l'excellente boite méca à 6 rapports. Lorsque le sélecteur se trouve en position « D », le conducteur peut à tous moments passer au mode manuel en actionnant l’une des deux palettes. Pour se faire un peu plaisir, le mode dynamique « SPORT+ » est vivement recommandé. Autrement, si vous la laissez tout faire, vous vous retrouvez à 1500 tr/mn en 7ème sur une départementale... prêt pour la sieste !

SUR LA ROUTE

essai bmw z4 35i e89

Au-delà de son moteur exceptionnel, le nouveau Z4 sDrive 35i n'en reste pas moins un roadster, appelation d'origine contrôlée, quitte à faire hurler les puristes (qui adorent hurler). A ce titre, on en attend donc énormément sur le plaisir de conduite, de préférence en dehors des autoroutes et des centre-ville bouchonnés. Mais la prise de poids conséquente à l'ajout du toit rigide laisse perplexe quant à cette idée. Plus encore que de savoir si un "roadster-coupé" est encore un roadster, demandons-nous si un roadster de 1600 kg chauffeur inclus est encore un "roadster" ? Sur ce point, le SLK 55 AMG et la Nissan 350Z Roadster ont déjà pu laisser un doute. Les premiers kilomètres de cet essai sont effectués toit fermé pour cause de ciel menaçant et ils me confortent dans cette idée. Je n'ai vraiment pas l'impression d'être au volant d'un roadster ! Ni même au volant d'un coupé sportif, tel que la Porsche Cayman. Le Z4 E89 est bien plus GT, avec un confort d'amortissement exemplaire et une insonorisation digne d'une série 6. La boite DKG égrène les rapports en limite de sous-régime comme un autobus, acompagnée par le bourdonnement sourd des gros échappements du 3.0l biturbo. Autant vous le dire, l'emmerdement n'est pas très loin...

Au premier rayon de soleil je décide donc d'une halte pour m'aérer les sens et l'esprit. Décapotage, pardon, "détoitage"... ça bippe de partout, le radar de recul s'affole parce que je suis garé comme un sauvage et le GPS tente de me renvoyer sur une route dont je n'ai que faire ! Je suis bien dans une voiture du 21ème siècle. M'embarquant sur une petite "B road" comme diraient les potes anglais, je pars explorer le réseau secondaire si cher aux "roadsteristes". D'emblée, autant le gabarit que la qualité de l'amortissement mettent un sacré coup de vieux au Z3 qui me revient en tête durant cet essai. Diable, ça n'a plus rien à voir ! Alors que l'autre vous balade généreusement au gré des déformations absorbées tant bien que mal par un train avant ultra sensible, un arrière archaïque et une rigidité d'ensemble "à l'ancienne", le nouveau Z4 E89 avale la route comme posé sur un tapis volant. Stupéfiant.

Coincé derrière un boulet en coupé Megane Diesel sauce tuning me pourrit la route et l'odorat... Euh, non, ça je ne peux pas l'écrire. Disons plutôt : bloqué derrière un véhicule nauséabond qui peine à enchainer les virages, je réfléchis la cette nouvelle philosophie du roadster bavarois. Deux secondes s'il vous plait, je mets pied dedans à la première occasion pour me libérer et l'infâmie puante disparaît au bas d'une côte en un éclair. Pas de doute, le Z4 35i a de la ressource ! Je disais ? Ah oui, aussi efficace soit-il, ce nouveau Z4 E89 dévoile au fil des kilomètres sa véritable personnalité. Bardé d'aides à la conduite qui le rendent aussi facile qu'une "voiture normale" (ne me jetez pas la question de ce qu'est une voiture normale !), je me retrouve en fait un peu frustré au volant de cette bête de 300 ch avare en sensations et sournoisement dangereuse pour la survie de mon permis.

En haussant le rythme, la physique reprend ses droits et le Z4 35i affiche des mouvements pas toujours bien maitrisés et une certaine paresse à l'inscription. C'est évidemment lié à un poids devenu assez indécent pour un "petit" roadster. Les divers réglages électroniques n'apportent qu'un léger surplus de feeling, artificiel concernant la direction à assistance électrique. Une tare héritée du précédent Z4. Disponible en option, le châssis sport M adaptatif doté d’amortisseurs pilotés permet toutefois d’accroître l’agilité du roadster pour ceux qui veulent, avec un rabaissement de 10 mm et une gestion très élaborée. Mais définitivement, la vocation du Z4 E89 35i n'est pas celle d'un roadster sportif. A force d'omniprésence, la technologie devient trop pesante, dans tous les sens du terme, et là je crois que nous sommes à un stade qu'il convient de ne pas dépasser pour préserver le plaisir de conduire, autrement dit, la joie au volant...

CE QU'EN DIT LA PRESSE :

Après avoir fait plus ample connaissance avec le nouveau Z4, il convient de relativiser la soi-disant perte de caractère dont il aurait été victime. Cela dit, même si le modèle de pointe a déjà les performances et l'efficacité dignes d'une réalisation du département Motorsport, force est d'admettre qu'il n'en a pas encore la saveur. Affaire à suivre...
MOTORSPORT MAGAZINE N°30 - Nicolas GOURDOL- ESSAI BMW Z4 sDrive35i.

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
BMW Z4 (E89) sDrive 35i

MOTEUR
Type : 6 cylindres en ligne, 24 soupapes +
Position : longitudinal AV
Alimentation : Gestion Bosch MSD81, injection directe (200 bars) + 2 turbos MHI (0,6 bar)
Cylindrée (cm3) : 2979
Alésage x course (mm) : 84 x 89.6
Puissance maxi (ch à tr/mn) : 306 à 5800
Couple maxi (Nm à tr/mn) : 400 de 1300 à 5000
TRANSMISSION
AR
Boîte de vitesses (rapports) : double embrayage DKG (7)
ROUES
Freins Av-Ar (Ø mm) : disques ventilés (348), étriers flottants 2 pistons - disques ventilés (324), étriers fixes 1 piston
Pneus Av-Ar : 225/45 - 255/40 R17
POIDS
A vide constructeur (kg) : 1530
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 5
logo bmw z4 sdrive 35i
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h): 250
400 m DA: ND
1 000 m DA: 24"2
0 à 100 km/h: 5"1
80 - 120 km/h en 4e / 5e : 4"9 / 5"7
CONSOMMATION
Mixte norme EU (L/100 km) : 9
PRIX NEUF (10/2009) : 49 900 €
PUISSANCE FISCALE : 21 CV

CONCLUSION

Selon BMW, le nouveau Z4 E89 incarne la renaissance du roadster, ce qui sous-entend aussi la fin d'une époque. Le Z4 a mué pour mieux coller au marché et à la demande de clients, principalement américains, qui lui reprochaient son manque de confort. Devenu GT polyvalente, performante, facile et confortable avec son toit en dur, il perd également en saveur pour s'aventurer dans un consensus plus bourgeois à la Mercedes. Faute de Z4 M en prévision, il faudra donc se satisfaire de cette version sDrive35i. De préférence en boîte manuelle alors...

:-)
Deux voitures en une
Présentation soignée
Design plus chaleureux
Equipement de série
Moteur plein
Performances
Efficacité générale
Confort de roulement et polyvalence
:-(
Prix en hausse
Poids en hausse
Sensations en baisse (surtout avec DKG)
Freinage peu endurant

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Avis des propriétaires

Bon article et tout à fait d'accord, dommage que BMW n'est pas fait une version plus radicale surtout avec un moulin pareil. Je suis passé de la Porsche 911 Carrera 4S phase 1 au Z4. Après utilisation je voyais que son potentiel méritait quelques aménagements pour arriver à un roadster enfin sportif. Possédant la version avec le 6 cylindres de 306 chevaux avec 433 de couple, une reprogrammation a permis de passer à 370 chevaux pour 526 de couple. Ensuite pour le look sportif un kit d'amortisseurs Eilbach avec ressorts courts Blistein B8 a permis d'abaisser la caisse de 3cm à l'avant et à l'arrière.Pour terminer 4 superbes jantes Zito Gunmétal concaves. Une nouvelle auto qui peut enfin rivalisé avec les Audi RS3 ou la Porsche Cayman.

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