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GUIDE OCCASION (01-09-2004)

MG
METRO
1.3 / 1.3 TURBO
(1982 - 1989)

MG Metro / MG Metro Turbo
47 500 Francs (1984) / 50 700 (1984)

6 CV FISCAUX / 6 CV FISCAUX
CARACTERISTIQUES TECHNIQUES MG METRO 1.3 / 1.3 TURBO
MG Metro / MG Metro Turbo
MOTEUR

Type: 4 cylindres en ligne, 8 soupapes arbre à cames latéral
Position: Transversal AV
Alimentation: 1 carburateur horizontal simple corps SU HIF-44 / 1 carbu inversé SU HIF-44 + turbocompresseur Garrett.
Cylindrée en cm3: 1 275
Alésage x course : 70,6 x 81,3
Puissance ch DIN à tr/mn: 71 à 6 000 / 94 à 6 130.
Puissance au litre en ch DIN : 55,68 / 73,72.
Couple maxi en Mkg à tr/mn: 10,4 à 3 500 / 11,8 à 2 650 tr/mn.
TRANSMISSION
AV
Boîte de vitesses (rapports): 4 manuelle.
POIDS
Données constructeur en kg: 790 / 840.
Rapport poids/puissance en kg/ch DIN : 11,12 / 8,93.
ROUES

Freins : Disques sur les roues AV et tambours AR.
Pneus : AV et AR 155/70 SR 12 / AV et AR 165/60 VR 13.
PERFORMANCES
Vitesse maxi en km/h: 163 / 180.
400 m DA en secondes: 18,52 / ND.
1 000 m DA en secondes: 35,12 / 33.
0 à 100 km/h : 11,80 / 9,9.
0 à 200 km/h : ND
Consommation moyenne : 8,4 L/100 km / 9,4 L/100 km.
croquis mg metro
Le design de la Metro est du au crayon de David Bache.

mg metro
La première Metro est présentée en 1980 : 998 cm3, 44 ch et 140 km/h.

mg metro avant
La première MG Metro fait revivre le label MG disparu depuis 2 ans.

interieur mg metro
L'habitaclerabore une présentation sportive ; volante te sièges sport, moquette rouge, instrumentation complète...

arriere mg metro turbo
La MG Metro Turbo est présentée quelques mois plus tard toujours en 1982.

profil mg metro
La MG Metro est plus une petite auto vivante à la présentation soignée qu'une vraie sportive.

moteur mg metro
C'est le bon vieux 1275 cm3 des Mini qui reprend du service sous le capot des MG Metro : 71 ch et 163 km/h.

moteur mg metro turbo
Avec un turbocompresseur Garrett, le 1,3 litres développe 94 ch et 180 km/h !

restylage mg metro
Après quelques restylings en 1984 et 1986, la présentation est différentes. Toujours autant de logos MG sur la carrosserie.

profil mg metro turbo

avant mg metro turbo

performances mg metro turbo
Sur la route, les MG Metro et Metro Turbo amènent leur lot de sensations. Prudence lors des grosses attaques !

BIEN :-)
Rareté des sportives
Auto dynamique
Performances correctes (Turbo)
Présentation sportive
Prix d'achat
PAS BIEN :-(
Fiabilité (Turbo)
Comportement routier
Freinage
Boîte 4 rapports seulement
Performances (Atmosphérique)


mg metro turbo

© L'AUTOMOBILE SPORTIVE (01/09/2004)

IL FAUT SAUVER MORRIS GARAGE !

La British Leyland est en mauvaise posture. Ses gammes sont vieillissantes et son image confuse. Les années 70 vont être fatales au groupe anglais à l'indépendance menacée. Alors pour relancer son groupe, British Leyland dépoussière quelques blasons et les colle sur des modèles de série de la gamme Austin. Finalement, l'histoire est un éternel recommencement avec la même stratégie aujourd'hui pour la gamme MG 2004...

Texte : Nicolas LISZEWSKI
Photos : D.R.

Nous sommes à la fin des années 70. British Leyland est au bord du précipice. Toutes ses marques rencontrent alors des difficultés. Jaguar est empêtré dans des grèves à répétition et des soucis de fiabilité entachent son image, Triumph n'est plus que l'ombre d'elle-même avec les TR7 moribondes, MG disparaît avec ma MGB en 1980, et l'Austin Mini devient vieillissante et pas encore une voiture fashion. La disparition de MG ? Une très mauvaise nouvelle pour tous les amateurs de roadsters sportifs, mais également de berlines sportives. MG, qui signifie " Morris Garage ", a été créé en 1924. De nombreux engagements en compétition et des modèles aux qualités sportives reconnues à des prix étudiés, auront vite fait de placer la marque MG parmi les sportives phares des Trente Glorieuses avec les MG TF, A, B et Midget. En 1980, les dirigeants de British Leyland décident donc de remplacer leur auto à succès : la Mini. Toutefois, l'option retenue est plus la ré-interprétation du thème Mini, avec des moyens de développement limités. La Mini Metro, c'est son nom, a la lourde tâche de remplacer un mythe vivant. L'usurpation n'aura toutefois pas lieu, puisque la Mini restera au catalogue d'Austin, puis Rover et poursuit la carrière que l'on sait sous les cieux de la Bavière. Si des projets de MG Mini étaient dans les cartons, c'est la Metro qui va finalement hériter du prestigieux blason et va par-là même ressusciter la marque MG. L'occasion de revenir sur un modèle oublié à l'occasion des 80 ans de la marque MG...

DESIGN

Les MG Metro et Metro Turbo se distinguent par une longueur contenue, avec 3,40 mètres. Il faut dire qu'elles reprennent la plate-forme de la Mini (en augmentant sensiblement ses cotes), celle qu'elle est censée remplacer. Dessinées par David Bache, sa ligne est jugée plutôt favorablement par la presse de l'époque. Le moins que l'on puisse dire est que ce design a vieilli et revendique l'âge de son coup de crayon. Pour ses variantes sportives, British Leyland a sorti le grand jeu. Outre le blason MG trônant fièrement au milieu de la calandre, la Metro reçoit des stickers et des filets rouges sur ses flancs. Un filet rouge entoure la calandre. Mais pour corser la présentation et rappeler à tous que la marque MG est de retour, se sont au total treize écussons MG qui parent notre Metro. Comparé à la Mini, la Metro, c'est l'ère cubique avec une carrosserie très carrée. Pour compléter la panoplie de la parfaite GTI des temps modernes, la Metro est équipée de jantes alu de 12 pouces.

HABITACLE

A l'intérieur, l'habitacle profite d'une présentation sportive et sympathique. Les moquettes sont rouges, sport oblige, et le volant arbore également l'écusson MG. La planche de bord reprend le principe déjà vu dans la Mini d'un vide poche intégral dans lequel est inséré le bloc d'instrumentations. Les compteurs ont un fond noir et rouge et des sièges baquets ont été montés à l'avant. La position de conduite est identique ou presque à celle des Mini. Le volant est très horizontal, le conducteur singeant ainsi le chauffeur routier dans sa position de conduite.

MOTEUR

Les ingénieurs de British Leyland vont appliquer la même recette que pour la devancière de la Metro, la Mini. Puisque la Mini eu le droit à sa version Cooper, et puis Cooper S, qui lui fut très bénéfique pour son image, la Metro aurait sa version MG et MG Turbo. Pour parvenir à leurs fins, c'est le vaillant 1 275 cm3 de la Mini (à arbre à cames latéral) qui reprend du service. Dans sa version de base, il reste atmosphérique. Les motoristes anglais en tire 71 ch DIN à 6 000 tr/mn. Pour y parvenir, ils ont fait appel à un carburateur SU HIF-44. Avec son poids contenu à 790 kg, la MG Metro à défaut d'être une véritable sportive, est avant tout une petite voiture vivante. Son moteur reprend bien dans les tours et montre une bonne disponibilité. Toutefois, comme tout bon moteur anglais ancien qui se respecte, la zone rouge n'est pas son terrain de prédilection. Les anglaises se conduisent souvent plus sur le couple que dans les tours comme avec les " machina " italiennes. Avec ses 163 km/h, la MG Metro abat le 0 à 100 km/h en moins de 12 secondes. Des chiffres bien en deçà des sportives contemporaines. Pour son modèle de pointe, difficile de monter un moteur plus gros dans un compartiment moteur qui n'est pas prévu au départ pour les grosses cylindrées. La première Metro présentée en 1980 était dotée, rappelons-le, d'un 998 cm3 de 44 ch… Alors comme nous sommes en plein dans les années 80 et la " turbomania ", synonyme de sport, puissance et rapidité dans l'esprit du public, les motoristes anglais vont donc greffer un turbocompresseur à la vénérable MG Metro. C'est un turbocompresseur Garrett qui permet ainsi de tirer 94 ch à 6 130 tr/mn. Avec un tel moteur, les performances font un bon en avant avec 180 km/h en vitesse de pointe et moins de 10 secondes sur le 0 à 100 km/h. Avec le turbo, la plage d'utilisation idéale se situe entre 3 000 jusqu'à 4 500 tr/mn. La remplaçante de la mythique Mini Cooper serait-elle née ?… Pour animer ces mécaniques, c'est une boîte mécanique à seulement 4 rapports qui est employée, alors que la concurrence est passée à la boîte 5 depuis des années, voire plus encore (Cf. Renault 8 Gordini). Les consommations sont élevées notamment en conduite sportive avec plus de 10 litres/100 km.

CHASSIS

Sur la MG Metro, les solutions innovantes et avant-gardistes de la Mini sont reprises : Coque autoporteuse acier avec châssis auxiliaire avant et arrière, 4 roues indépendantes, éléments en caoutchouc, amortisseurs télescopiques avant, ressorts hélicoïdaux. La suspension Hydragas avec coussins à gaz azote est bien entendu de la partie, et pour parer à l'augmentation très importante de la puissance, des barres stabilisatrices avant et arrière de forte sections sont montées. La direction à crémaillère permet d'offrir aux MG Metro et Metro Turbo une direction très directe et précise. C'est un héritage bienvenu de la Mini. Les quatre roues sont équipées de jantes en tôle en 12 pouces chaussées en 155/70 SR 12 sur la MG Metro, et en 13 pouces de 165/65 HR 13 sur la Turbo. Pour les ralentir, les freins à disques à l'avant et à tambours (sic !) à l'arrière sont assistés. Qu'en est-il réellement de ce réchauffé de Mini sportive ? A allure modérée, sur un revêtement parfaitement lisse, cela se passe très bien. Malheureusement, dès que la chaussée se déforme, les MG Metro et Metro Turbo sautillent sur les moindres bosses avec leur suspension Hydragas. Alors que les Mini s'étaient forgé une réputation sur leur tenue de route et leur maniabilité, les MG Metro et Metro Turbo pêchent sur ce point. C'est d'autant plus criant lorsque le conducteur hausse le rythme. Le pire ? Une petite route de campagne bosselée et bombée sur laquelle on souhaite attaquer… Grosses sensations, et surtout frayeurs assurées. A droite, à gauche, au milieu, les MG Metro et Metro Turbo semblent prendre toute la route sans vous demander votre avis. Et n'allez pas croire qu'une version est mieux amortie que l'autre. Elles sont toutes deux logées à la même enseigne.

EVOLUTION

Après la commercialisation en 1982 de la MG Metro, puis quelques mois plus tard de la MG Metro Turbo, la gamme MG Metro ne vas pas connaître d'évolutions notables. En 1984, la gamme Metro reçoit un nouveau tableau de bord. La finition est toujours sympathique mais très plastique. Le volant, plus carré en son centre, reprend le dessin de celui des Rover Série 800, et des coloris plus gais sont disponibles. En 1985, British Leyland présente sa MG Metro 6R4 pour disputer le championnat du monde des rallyes en Groupe B (Voir encadré " En marge de la Série "). Produite à 200 exemplaires, elle est devenue un collector pour les amateurs du genre. En 1986, toute la gamme MG Metro est revue. Leur présentation change en effet avec des jantes et des stickers différents. On se souviendra avec émotion de la MG Metro bardée de ses gros stickers " MG " en biais… Une pure merveille, qui aujourd'hui ajoute encore au charme de ces autos méconnues. En 1989, les MG Metro sont arrêtées et la marque MG va bientôt encore disparaître avant de renaître une deuxième fois avec une évolution réactualisée de la MGB RV8 entre 1992 et 94, puis avec la MG F née en 1995 et devenue depuis MG TF. Ce sont 67 110 exemplaires (MG Metro + MG Metro Turbo) qui seront sortis des chaînes de production.

MG METRO 6R4 Gr. B
Dans le cadre d'une participation au championnat du monde des Rallies en groupe B, British Leyland construit 200 exemplaires d'une vraie furie : la MG Metro 6R4. Avec 4 roues motrices comme il se doit, et un moteur en position centrale AR, la MG Metro 6R4 présentait la particularité d'avoir opté pour un V6 de 3 litres atmosphérique, gage d'une meilleure fiabilité selon ses concepteurs. Sur les versions commercialisées, le V6 développait 200 ch, et il fallait s'acquitter de 400 000 Francs de l'époque pour l'acquérir. A l'inverse des autres constructeurs, MG avait décidé que les versions routes et courses seraient identiques. Ils ont pu ainsi écouler une bonne part de leurs 200 exemplaires imposés par le règlement des Groupe B à des Rallymens privés pour… courir en Rallye. Il fallait y penser ! L'arrêt des Groupe B a toutefois porté un coup fatal à cette MG sur-vitaminée, qui servi notamment à Didier Auriol en Rallye…
> Dossier Metro 6R4

ACHETER UNE MG METRO 1.3 / 1.3 TURBO

Si l'idée d'acheter une MG Metro ou Metro Turbo vous traverse l'esprit, sachez que vous n'êtes pas au bout de vos peines. Leur rareté, et le manque d'intérêt prodigué à ces autos leur a rarement permis de bénéficier d'un entretien ad hoc. A des tarifs raisonnables, à partir de 2 500 euros pour des autos en état correct, il faudra attendre qu'un des rares propriétaires décide de s'en séparer. Lorsque vous êtes décidé, et que vous en avez trouvé une, inspectez soigneusement la carrosserie qui connaît la rouille plus qu'à son habitude. Les points usuels sont à contrôler (bas de caisse, passage de roues…). La mécanique atmosphérique est très fiable, même si en bonne vieille anglaise, elle s'oublie de tant à autres (quelques fuites d'huile pas bien graves). Autre bonne nouvelle, toutes les pièces mécaniques sont disponibles chez les spécialistes des Mini, qui pourront également en assurer l'entretien. Evitez le réseau Rover officiel, car une partie du réseau est composée de concessionnaires BMW ayant repris le panneau suite aux évolutions des repreneurs que l'on sait. Les ateliers, avec du personnel parfois trop récent dans la marque, n'a pas connu cette période et aura du mal à solutionner certaines problèmes à moindre coût. Le turbocompresseur Garrett a la fiabilité de son époque. Il nécessite donc un entretien et une utilisation en rapport avec son temps : vidange d'huile fréquente avec huile de synthèse, ne pas donner de coup de gaz avant de couper le moteur,… Une auto attachante et exotique comme on en voit que trop rarement. Le MG Club de France affirme qu'ils acceptent toutes les MG en leur sein, même les actuelles vendues par MG Rover France. Alors n'hésitez pas à vous rapprocher d'eux, ou de clubs Mini. Vous y rencontrerez certainement un succès garanti !

PRODUCTION MG METRO
MG Metro : 37 500 exemplaires
MG Metro Turbo : 29 610 exemplaires
TOTAL : 67 110 exemplaires

:: CONCLUSION
Totalement oubliée de nos jours, spécialement en France (en Angleterre elles sont plus nombreuses en état de rouler), les MG Metro et Metro Turbo sont boudées et délaissées, voire inconnues des amateurs français de petites sportives. Pourtant, avec le temps qui passe, la performance pure des GTI anciennes passe au second plan, et les MG Metro et Metro Turbo peuvent alors se présenter sous leur meilleur visage. A condition d'en trouver une et de respecter l'entretien et les conditions d'utilisation requis, spécialement pour la Turbo...

CHRONOLOGIE
1980 : En octobre, présentation de l'Austin Mini Metro. 998 cm3, 44 ch, 140 km/h. Elle a la lourde tâche de succéder à la Mini.
1982 : En mai au salon de Birmingham, présentation de la MG Metro, 71 ch et 163 km/h et de la MG Metro Turbo, 94 ch et 180 km/h. La commercialisation de la Turbo intervient quelques temps après la version atmosphérique. Quelques différences d'équipements et de présentation distinguent visuellement les deux modèles.
1984 : Le tableau de bord est modifié.
1985 : Présentation de la MG Metro 6R4 : V6 2,5 litres en position centrale AR et transmission intégrale. Elle fut produite à 200 exemplaires pour l'homologation en Groupe B. Elle fut notamment pilotée par Didier Auriol.
1986 : La présentation des MG Metro est légèrement modifiée (jantes, stickers…).
1989 : Fin de production des MG Metro.
1990 : Les derniers exemplaires sont écoulés.

CE QU'ILS EN ONT PENSE :
"La MG Metro ne peut camoufler longtemps ses origines et, dès la prise de contact, on retrouve derrière son volant la célèbre " position du camionneur " si caractéristique de toute une génération de Minis ! Puis, après quelques kilomètres de conduite, on se souvient à nouveau de l'effet particulier engendré par son type de suspension, déjà utilisé dans le passé par British Leyland. Chahuté tel une balle de ping pong bondissante, le conducteur se demande en permanence de quel côté de la Metro va choisir : le milieu, la partie de droite ou… l'herbe du bas-côté ? Possédant un train avant directionnel et efficace -malgré une direction la moins directe de ce comparatif- cette voiture prend beaucoup trop de roulis pour être neutre et ses réactions, sous forme de pertes d'adhérence ou de " louvoyage " sont nombreuses. Le quatre cylindres de 71 ch prend moyennement son régime maxi et il n'est pas aidé dans cette tâche par une boîte de vitesses possédant seulement quatre rapports… Malgré un freinage correct, la performance absolue de cette MG sur notre circuit test reflète donc l'ensemble de ses aptitudes routières."
L'AUTOMOBILE MAGAZINE - Janvier 1984 - MG Metro 71 ch.

"Si l'on ne pousse pas cette MG miniature dans ses derniers retranchements, elle prodiguera à son conducteur un sentiment de sécurité d'ailleurs justifié. Stable en ligne droite, la voiture vire docilement et ne manifeste que tardivement une certaine tendance à sous-virer, c'est à dire à glisser de l'avant. La plupart des cahots engendrés par un revêtement médiocre seront correctement absorbés et le bilan d'ensemble demeure satisfaisant. Il suffit cependant de peser lourdement du pied droit sur la pédale d'accélérateur, de laisser le compte-tours monter vers les altitudes -pourtant modestes- et de saluer comme il convient de saluer comme il convient la mémoire des fameuses Mini Cooper pour que le panorama s'assombrisse."
AUTO-JOURNAL - Septembre 1983 - MG Metro 71 ch.

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