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RETRO (03-09-2003)

DAIMLER
DOUBLESIX
(1972 - 1993)

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
Jaguar XJ12 & Daimler Double Six
S1 / S2 / S3

MOTEUR
Type: 12 cylindres en V, 24 soupapes 1 arbre à cames en tête
Position: longitudinal AV
Alimentation: 4 Carbus Zenith / Injection électronique
Cylindrée en cm3: 5 343
Alésage x course en mm: 90 x 70
Puissance ch DIN à tr/mn: 253 à 6 000 / 289 à 5 750 / 295 à 5 500
Puissance au litre en ch: 47,35 / 54,08 / 55,21
Couple maxi en mkg à tr/mn: 41,6 à 3 500 / 40,7 à 4 500 / 44 à 3 250
TRANSMISSION
Aux roues AR
Boîte de vitesses (rapports): 4 auto
POIDS
Données constructeur en kg: 1 760 / 1 880 / 1 900
Rapport poids/puissance en kg/ch: DIN 6,95 / 6,50 / 6,54
PERFORMANCES
Vitesse maxi en km/h: 225 / 224 / 238
400 m DA en secondes: ND / ND / 15,26
1 000 m DA en secondes: ND / ND / 28,12
0 à 100 km/h : 8,1 / ND / 7,68


L'intérieur des Jaguar et Daimler DoubleSix Série 2 et 3 a légèrement évolué. Sur les série 3 notamment, un ordinateur de bord sera inséré sur la planche de bord en fin de carrière. Quelle atmosphère inimitable...


Les série 1 offrent un habitacle et une planche de bord beaucoup plus typée années soixante. C'est ce qui fait tout son charme... Cuir et Bois précieux sont bien entendu au RDV.


Quelle mécanique ce V12 ! Longtemps critiqué pour sa fiabilité, il n'en est rien s'il est bien entretenu. Ce sont surtout les accessoires périphériques qui lâchent notamment en raison de la chaleur qui règne sous le capot…


Les Série 1 sont les préférées des puristes pour leur ligne plus fine et leur calandre béante. Le plastique noir était encore banni mais l'habitabilité AR était restreinte.


Sur les Série 2 et 3 la ligne est légèrement revue. Les série 3 seront même redessinées par Pininfarina..


La conduite des XJ12 et Daimler DoubleSix offre une ambiance et un plaisir bien particuliers. OUbliez le sport, et savourez plutôt l'esprit grand tourisme.

BIEN :-)
Ligne
Image
Performances
Comportement routier
Finition
Charme inimitable
PAS BIEN :-(
Coût d'entretien
Rares en bon état
Corrosion
Consommation élevée
Pas sportive
Fiabilité aléatoire


© L'AUTOMOBILE SPORTIVE (03/09/2003)

LA PLUS BELLE BERLINE DU MONDE !

Marquée par la Jaguar Mark II, synthèse magique et accomplie du sport et du luxe, la suite de la lignée des berlines Jaguar s'était hélas embourgeoisée tant dans le style, que sur la route. Mais en 1968, Sir Williams Lyons frappe une nouvelle fois de son trait la nouvelle star de Coventry avec la XJ6. Parfaite synthèse d'élégance et de suggestion, elle acquiert immédiatement ses lettres de noblesse. Ne lui manquait plus alors qu'un moteur prestigieux…

Texte : Nicolas LISZEWSKI
Photos : D.R.

Chez Jaguar, l'un des mythes de sa production fut sans conteste la Jaguar Type E. Et comme une diva, sa carrière finit dans l'excès et le mauvais goût. Pourtant, dans ce final décadent, un élément important et intéressant à plus d'un titre survint : un nouveau moteur V12 inauguré sous le long capot de la Type E. Lorsque Jaguar dévoila sa nouvelle égérie, la XJ6 équipée du traditionnel 6 en ligne Jaguar, on se prend alors à rêver d'une mécanique plus prestigieuse encore sous ce capot dessiné par Sir Williams Lyons himself ! Cela serait alors la seule berline à moteur V12 au monde !! En effet, seul les productions de Maranello et de Lamborghini disposent d'un V12, de même que des Lincoln. Qui imaginait alors en 1972, que la carrière de cette XJ12 allait durer plus de 21 ans ?!

LE STYLE AVANT TOUT

Bien qu'étant une réussite totale, le style de la Jaguar XJ n'est pas une totale nouveauté. En effet, les berlines Mark X et 420 G offraient déjà cette proue si caractéristique. Sur la XJ, c'est le traitement de la poupe et son intégration dans la ligne qui a été travaillé avec maestria. De profil la ligne de pavillon plongeante vient mourir délicatement sur la longue malle arrière qui prolonge cette pente douce. Vue de derrière, on perçoit très bien le dessin de la poupe qui se resserre pour mieux afficher son élégance. La face avant affiche une large calandre au fines barrettes typiques de la marque de Coventry. Sur ces Série 1, les pare-chocs sont encore fins et chromés, ce qui sera modifié sur les Série 2 et 3.

DES DESSOUS EVOLUES

Si la ligne aurait pu suffire à elle seule à marquer le monde automobile de l'empreinte et du charisme de la Jaguar XJ, les ingénieurs de Coventry ont également beaucoup travaillé sur les trains roulants. Le but étant d'obtenir un compromis efficacité et confort optimal. Pari réussi ? Assurément, car il faut se projeter en 1968 et observer la concurrence pour comprendre alors les performances des hommes de Coventry. Ce résultat est essentiellement le fruit des trains avant et arrière équipés de nombreuses biellettes et de silent-blocs sur les barres stabilisatrices. C'est toujours la propulsion arrière qui a été conservé.

UN INTERIEUR SIGNE JAGUAR !

Véritable institution en Angleterre, les habitacles Jaguar, à l'instar de ceux de Crewe ou même ceux de Rover, ne peuvent se concevoir sans cuir, bois précieux et moquette épaisse. Sous les yeux du conducteur, c'est donc une épaisse planche de bord en ronce de noyer qui s'étale de tout son long regroupant derrière le volant à jante fine un tachimètre et le compte-tours. Au-dessus de la console centrale c'est une batterie de contacteurs pour les différents équipements électriques qui sont surmontés d'une série de cadrans pour les principales informations. A noter l'unique jauge à essence complétée d'un contacteur pour la faire basculer d'un réservoir à l'autre ! Les sièges sont larges et enveloppants, recouverts de cuir (off course !) et l'habitabilité arrière est plutôt restreinte, contribuant à cette atmosphère cosy et intimiste.

MOTEURS !

Le V12 Jaguar est exceptionnel à plus d'un titre. Nous l'avons déjà énoncé plus haut, c'est l'un des rares V12 de la production mondial, et surtout le seul monté sous le capot d'une berline dans les années 70. Il faudra attendre 1987 pour voir l'apparition du V12 BMW sous le capot de la Série 7, et 1991 pour le V12 Mercedes sous le capot de la Classe S W140. Ce V12 Jaguar a de plus été inauguré sous le capot de la Type E. Plutôt un baptême prestigieux… Avec 5,3 litres de cylindrée, ce V12 fait appel à quatre carburateurs Zenith pour l'alimentation. Non spécialistes pour les réglages, s'abstenir. Sa puissance n'est pas si impressionnante par rapport à d'autres moteurs concurrents, avec 253 ch à 6 000 tr/mn, mais c'est son couple gargantuesque de 41,6 mkg de couple dès 3 500 tr/mn qui frappe. Clairement, c'est plus l'agrément qui a été mis en avant lors de l'étude de ce moteur, que la sportivité pure. D'ailleurs, avec un rapport de seulement 47,35 ch/litre, le son de ce V12 pourra décevoir les mélomanes avertis. Il faut plus apprécier son souffle tant sonore que sur la route que ses vocalises. Véritable point noir de cette mécanique accouplée exclusivement avec une boîte auto à 3 rapports : sa consommation gargantuesque autour de 25 litres au cent en conduite normale !

SUR LA ROUTE

Seuls au monde ! C'est un peu le sentiment qui règne à bord de cette noble anglaise. A bord tout n'est que confort et volupté. Nous sommes là bien loin du caractère sportif des GTI ou autres GT. Mais, qu'importe, car lorsque le fin cerceau gainé de cuir est entre vos mains, avec la fine tige chromée positionnée sur " Drive ", c'est plus la route rapide que le sport qui vous titille. Et dans cet exercice, la Jaguar XJ12 excelle. Son comportement routier est équilibré et très sain. Le souffle du V12 vous enfonce avec prévenance dans le creux de vos fauteuil en cuir et seuls les bruits aérodynamiques viennent perturber à très haute vitesse cette atmosphère langoureuse. Le léger sifflement de la climatisation automatique vient bercer votre voyage au long cours, pour traverser la France au rythme des étapes…

EVOLUTION EN TRILOGIE

C'est en trois séries que la carrière des berlines XJ12 et Daimler DoubleSix va se découper. Après la première présentation de la berline XJ6 en 1968, c'est dès 1972 que la nouvelle Jaguar XJ12 et sa sœur jumelle la Daimler DoubleSix sont commercialisées.

DOUBLE SIX SERIES II

Dotées du moteur V12 de 5,3 litres de 253 ch, elles sont équipées d'une boîte automatique à 3 rapports Borg-Wagner 12. Dès l'année suivante, toute la gamme XJ passe à la deuxième génération qui dispose de légères modifications. En effet, afin de satisfaire aux nouvelles normes US en matière de crash-test, Jaguar est obligé de monter des pare-chocs plus présents et la calandre béante est alors réduite. Avec cette nouvelle série, la planche de bord est également revue, et une console centrale est aménagée. Les cadrans sont désormais tous regroupés derrière le volant. Autre nouveauté, si sur les S1, les Jaguar XJ12 étaient commercialisées avec deux empattements différents, dès la S2, elles ne sont plus disponibles qu'en empattement long. Au printemps 1975, le V12 troque ses 4 carburateurs Zenith contre une injection plus moderne. Le gain en puissance est également notable, puisque c'est désormais 289 ch qui piaffent sous le long capot anglais. En 1977, face aux piètres qualités de fiabilité de la boîte auto Borg-Wagner, Jaguar installe une boîte auto GM, toujours à 3 rapports.

DOUBLE SIX SERIE III

1979 est l'année qui marque le début de la troisième série. C'est Pininfarina qui a retouché le mythe de Coventry. Ainsi le pavillon est légèrement plus haut et carré à l'arrière, les pare-chocs sont nettement plus volumineux et en plastique, et les feux arrière changent de dessin et sont tous regroupés sous un même cache. L'intérieur est quasiment inchangé fort heureusement. Petit détail qui change, les poignées de portes extérieures qui sont désormais encastrées comme sur les coupés XJ-S. Cette troisième refonte de la Jaguar XJ est parfois jugée sévèrement par les passionnés de la marque qui argumentent sur la perte d'élégance due au pavillon plus carré et relevé. Affaire de goût, mais globalement le charme est toujours intact. A partir de 1981, c'est la révolution sous le capot des Jaguar XJ12 et des Daimler DoubleSix. Pour répondre aux critiques, notamment sur le caractère énergivore en carburant du V12, Jaguar a profondément revu son moteur vedette. Au programme, nouveaux pistons, culasses Fireball-May et près de 300 ch. Ces nouveaux V12 portent la mention H.E. pour " High Efficiency ". Les résultats sont probants. Dès 1989, les Jaguar XJ12 et Daimler DoubleSix vont devoir supporter la pose d'un catalyseur qui va faire chuter la puissance de plusieurs dizaine de chevaux. Deux ans plus tard l'ABS est monté en série pour deux ans jusqu'à l'arrêt du modèle.

ACHETER UNE DAIMLER DOUBLE SIX

Si les Jaguar XJ12 et Daimler DoubleSix semblaient alors magiques, et inaccessibles au commun des mortels, les tickets d'entrée ont aujourd'hui été démocratisés, mais pas forcément pour le plus grand plaisir de tous. En effet, à partir de 5 à 6 000 euros on peut acquérir ces nobles dames de Coventry motorisées par un V12. Mais leur état est souvent préoccupant, car elles ont été négligées par leur précédents propriétaires lassés de dépenser autant d'argent dans leur entretien. Une princesse requiert en effet un niveau d'entretien minimum en rapport avec son rang. Pour un bel exemplaire il ne faudra pas hésiter à investir près de 10 à 12 000 euros si le pedigree est connu et l'entretien et l'historique connu. Mais à ce prix, vous roulerez alors dans une berline d'exemption, qui aujourd'hui encore fait tourner les têtes et impressionne les foules. Timides s'abstenir... Pour la partie entretien, ne rêvez pas trop tenter de le faire vous-même, à moins d'être doté de solides bases en mécaniques et de posséder un outillage minimum, car même le remplacement des douze bougies peut tourner au cauchemard. Une révision intermédiaire va tourner chez les spécialistes ou concessionnaires Jaguar entre 200 à 300 euros et une majeur plutôt vers les 500 euros. Les grosses interventions se chiffrent très rapidement au-delà des 1 000 euros. Pensez à regarder sous le châssis l'état de la belle, car la corrosion peut se rappeler à votre bon souvenir, les étriers de frein grippent en cas d'inactivité prolongée, et les silent-blocs, nombreux sur les biellettes de barre stabilisatrices (élément de confort) doivent être changés tous les 60 000 km environ, sous peine de dégradation du confort et du silence de roulement. Enfin, si vous n'êtes pas un intégriste des XJ, mais simplement passionné par l'auto, optez alors plutôt pour une série 3 plus récente et beaucoup plus fiable, tandis que seuls les puristes déjà Jaguaristes depuis de nombreuses années et prêts à tous les sacrifices s'orienteront vers des très belles séries 1, plus exigeantes encore en fiabilité et entretien. Quant à la réputation de fiabilité précaire des V12, elle n'est pas réellement justifiée. Ce sont surtout les accessoires périphériques qui vous lâcheront prématurément supportant mal la chaleur dégagée par le V12 de Coventry…

CHRONOLOGIE

1968 : Présentation de la Jaguar XJ6 avec des six en ligne de 2,8 et 4,2 litres.
1972 : Commercialisation simultanée de la Jaguar XJ12 et de la Daimler DoubleSix équipées du moteur V12 Jaguar de 5,3 litres. C'est la seule berline au monde équipée d'un V12. 4 carbus Zenith et 253 ch.
1973 : Premières modifications des XJ, baptisées par la suite S2, avec une calandre rétrécie pour autoriser des pare-chocs plus volumineux en raison des normes US. Le châssis long est uniquement disponible.
1975 : Au printemps, le V12 est retravaillé et est équipé de l'injection D-Jetronic Bosch-Bendix-Lucas. Il développe 289 ch.
1977 : Remplacement de la boîte auto Borg-Warner 12 par une GM Hydramatic 400.
1979 : Jaguar XJ12 et Daimler DoubleSix S3 avec une carrosserie légèrement retravaillée et retouchée par Pininfarina. En Jaguar, la XJ12 s'appelle Sovereign, et les Daimler DoubleSix.
1981 : A l'été, les ingénieurs de Jaguar retravaillent le V12 pour améliorer son rendement et ses performances. Au programme, nouveaux pistons, culasses Fireball-May et 300 ch.
1989 : Un catalyseur est monté sur les XJ12 et la puissance chute de quelques dizaines de chevaux.
1991 : L'ABS est monté en série.
1993 : La génération XJ40 est enfin équipée du nouveau V12 et renvoie au musée les XJ12 S3.

:: CONCLUSION
Pas si évidente à trouver en bon état, la Jaguar XJ12 ou Daimler DoubleSix s'offre à vous aujourd'hui pour des prix dérisoires. Un blason mythique, une Lady avec un V12 hors-norme et un charme fou, tel est l'offre du marché avec la lignée XJ. A acheter à coup sûr mais en connaissance de cause !

CE QU'ILS EN ONT PENSE :
"La caisse des Jaguar 6 cylindres fut présentée au salon de Paris 1986. Curieusement le V12 conservait l'ancienne et son châssis datant de la fin des années 60... Et pour cause, le gros moteur n'entrait pas dans la nouvelle ! La ligne ne changeait heureusement pas fondamentalementet son équilibre toujours actueltémoigne d'un classicisme intemporel, signature des grandes réussites en matière de style. En revanche, le comportement routier est largement dépassé.La Jaguar V12 prend un important roulis dans les virages et ne supporte guère les mauvais revêtements. Certes la vocation de ce genre de voituren'est pas d'être brutalisée, mais ses rivales germaniques de conception plus récente, tiennent beaucoup mieux la route. L'antique boîte à 3 rapportsa également pris un sacré coup de vieux. Celle beaucoup plus moderne et agréable des six cylindres n'est malheureusement pas en mesure de supporter les 41,2 mkg de couple du V12."
AUTO PLUS - 500 ESSAIS 1991.

"La palme revient incontestablement au cuir dans lequel, au sens grammatical du verbe, on aspire à se vautrer. Peaux taillées et cousues main, quatre variétés habillent la Daimler DoubleSix avec une élégance et une distinction indéfinissable. Ceux qui en outre ne redoutent pas un effort (!) sur le prix peuvent choisir l'option Magnolia encore plus séduisante. D'autres plaisirs contre supplément ? Certes il y en a. Mais peu, néanmois. Un lecteur de disques compact pour améliorer l'ensemble accoustique, et pêché mignon d'esthète, ... les passepoils contrastés. Révélation qui implique le retour didactique au dictionnaire sauveur : "passepoil : bande de tissu ou de cuir prise en double dans une couture pour former une garniture en relief." On les devine donc to, sur ton. Nous voilà au fond du détail. La Daimler DoubleSix redouble de coquetterie. Sans oublier la singulière calandre Daimler. Plaisir royal vous dis-je!"
ACTION AUTO MOTO- HORS SERIE 1992.

"Inutile de dire que l'équilibre de l'ensemble est somptueux. Une simple pression sur l'accélérateur et la voiture glisse sans heurts. La boîte automatique d'origine GM est particulièrement douce mais doit se contenter de trois rapports, alors que la quasi-totalité des productions germaniques en compte quatre avec des dispositifs de verrouillage destinés à limiter le glissement du convertisseur. Il ne faudrait pas croire pour autant que la Daimler DoubleSix est destinée uniquement à venir se ranger devant le hall de l'hotel "Crillon". Le V12 permet d'entraîner la voiture à 235,3 km/h. A cette vitesse, la conduite est sans problème, la stabilité est exemplaire et, dans ces conditions, la Daimler DoubleSix vaut largement une Mercedes 500 SEL chronométrée à 224 km/h et beaucoup plus sèche que la voiture britannique au passage des raccords. En revanche dès que le profil devient tourmenté, la Daimler est beaucoup moins agile s'inscrivant avec paresse dans les courbes."
L'AUTOMOBILE MAGAZINE - Septembre 1986.

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Avis des propriétaires

j ai la chance d etre proprietaire d une Daimler double six de 1987 unique proprietaire la grande classe ,voiture hors norme d exeption le luxe ,la puissance tout en souplesse une ligne sublissime extraordinairement magnifique surtout si vous en avez une gardez la

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